Bataille contre la mort

Les éveillés s'organisent pour faire face à l'armée de spectre d'outre-tombe dans la Forêt verte.
Les choses s'enveniment et la situation s'aggrave, l’envahisseur renforçant ses positions !

Rendez vous ce soir ou dimanche soir pour la grande bataille !

Après avoir envoyé des courriers et tenter de mobiliser les personnes présentes dans le village, Le Renard transmet un rapport d'information aux personnes souhaitant participer à la grande bataille :






- La zone au Sud du village rassemble plusieurs spectres et trois Ombres.
- La zone à L'Est regroupe une petit groupe de Spectre, mais les Ombres ont été chassé par Papillon et moi même.
- La zone à l'ouest : Il semblerait que la construction dans cette zone ait abouti. Il y a X(chiffre à déterminer) spectres, X(chiffre à déterminer) Ombres et un Cavalier de la mort sans tête. La construction semblerait être un accès permettant aux esprits de la crypte de s'enfuir et d'avoir accès à notre monde. Il s'agit d'une armée de mort qui désire faire basculer le monde dans les ténèbres.

La situation est alarmant, il nous faut stopper la progression des zone au Sud et Est avant que cela ne s’aggrave.

Une fois toutes nos forces réunies, il nous faut de toute urgence affronter la menace situé à l'Ouest.

Le Renard.

Revenue sur les lieux de l’action contre les spectres, à l’ouest, Neige s’aperçu que plus rien ne subsistait du mal que tous s’étaient donné pour chasser les ombres et faire revenir la Lumière en ces lieux. Peut-être était-ce mieux ainsi. La nature, la forêt avaient repris leur droit et la nuit renforçait la nostalgie que Neige ressentait dans son cœur. Elle ne savait pas pourquoi ce sentiment doux et terrible à la fois la harcelait souvent. C’est comme si on lui tordait la poitrine sans trop vraiment lui faire mal, juste pour qu’elle ne se sente pas à l’aise, juste comme des regret. Elle regardait la forêt au plus loin qu’elle le pouvait, mais les arbres oui barraient la vue, inexorablement, empêchant de voir ce que le monde pouvait receler comme trésor au-delà de ce qui est immédiatement visible. Il ne s’agissait pas de trésors matériels. Il s’agissait d’autre chose.

Dans ces moments-là, quand elle se laissait aller à ses rêvasseries, elle revoyait une petite fille heureuse, entourée d’écureuils qui sautillaient autour d’elle. Elle revoyait le sourire bienveillant d’une femme et les yeux plisser de bonté d’un homme un peu ivre qui lui faisait la leçon sur la façon dont il fallait parler avec les garçons. Le bonheur semblait si près et si lointain à la fois !

Elle plaça toutefois deux pierres bénies par la Lumière, une de chaque côté de la porte de la tour qu’ils avaient libérée ce soir-là. Elles étaient comme un symbole, modeste certes, mais généreux de leur combat contre les forces ténébreuses qui les mettaient à l’épreuve, elle et ses amis.