Une injustice faite à un seul est une menace faite à tous.

Avec ma fidèle jument, Lady, je faisait ma ronde.
Quelques peu ennuyeuse puisque la forêt verte était bien protégé et chacun y mettaient du sien pour que la sécurité y règne. Parfois, je me dis qu'on est un peu comme nos voisins d'en face, avec moins de fourrure et peut-être plus de chamailleries, et moins de crocs, moins de puces peut-être ? Je sais pas trop, je ne connais pas si bien la Horde Blanche, qui paradoxalement est peuplé de worgen noir... Ce monde est à la fois tout et son contraire ! D'un complexe ! Mais dans la forêt verte, ils ont l'air plutôt unis face au danger et c'est à ça que sert mon bouclier. Tous le monde ne peut pas se défendre. Chacun a ses raisons d'être et si nous étions tous soldats ? Qui me ferait de délicieuses pâtisseries ? Ou des gourmandises, des repas qui en vaille le combat ? Et me faire perdre quelques calories...

Au rythme du pas de Lady.
J'observais les alentours, profitant de la beauté sylvestre et de l'instant présent et songeant... Pendant longtemps j'ai cru être l'opposé de Belette, alors qu'en réalité... Je nous trouves plutôt complémentaire. L'un calme l'autre même si ça va plus souvent dans le même sens, ce qui peut nous rendre parfois amusant... Cependant, j'étais persuadé qu'aujourd'hui, ce serait comme tous les autres jours... Et que je n'allais certainement pas rencontrer, mon réel opposé.

Après avoir passé la frontière de piques de bois.
Mes sens de paladine s'éveillaient et je ne parle pas de frisson à cause des grosses tarentules qui peuvent parfois border le chemin sur les terres rouges, menant au village du lac. Non, cette fois c'était autrement plus inquiétant... Lady elle même émit un léger hennissement comme pour confirmer mes dires et je le sentais, réellement... L'odeur d'un cadavre en décomposition. L'odeur de chair en putréfaction, ce n'est vraiment pas le genre de parfum qu'on peut oublier. Surtout quand on la phobie des cryptes comme moi. Paladine ne veut pas dire infaillible ! Je descendais de Lady pour laisser mon sens lumineux me guider vers ce qui me titillait, puis dérangeait sérieusement au fil des pas de mon armure.


C'est alors que je le vis, au sommet d'un mont rocheux, non loin du village.
Un mort vivant !! Ici ?! Mais nous avions purgés ces terres il y a peu !! Impensable !! Je n'ai écouté que mon instinct pour foncer vers la créature, qui elle aussi me repéra à mon aura. Elle s'élança à son tour pour un combat sans merci. Ses dents pourries s’écrasant sur mon bouclier devenu doré. Là où Brave avait des éclairs pour argumenter son tempérament courroucé face à l'obscur, aux ténèbres. Moi, ce sont des ailes dorés qui apparaissent brièvement pour confirmer mon appartenance à la Lumière et me renforcer. J'avais envie de vomir tant l'odeur du mort vivant était insupportable. La créature était féroce, véloce mais je ne me décourageait pas et à la force de mon bouclier et de ma conviction lumineuse, le combat fut féroce mais j'en fut victorieuse sans véritable blessure puisque je me suis toujours spécialisé dans la défense, me complétant ainsi avec le supérieur de l'Ordre du Marteau.

Brûlant la créature de ma Lumière pour l'achever.
J'essuyais ensuite mon front, toujours sur mes gardes, est-ce qu'il y en avait d'autres ? C'est rarement seul... Et je n'étais pas au bout de mes surprises lorsque mon sens de paladine m'alertais encore d'un danger, encore plus proche du village !! Mon cœur ratait un battement. Et si j'arrivais trop tard et que ce dernier était envahie ?? Encore en sueur du combat précédent, je grimpais la colline rocheuse qui surplombait le village pour vérifier mes inquiétude et là...

Pas de fumé...
Pas de crie de terreur mais mon regard se pointa immédiatement sur un humanoïde en armure doré, mais clairement pas net. Je passais un groupe de trois prêtres qui étaient occupés de discuter sans même l'avoir remarqué ?! Ont-il étés dupés par son armure doré qui ressemble à celle de nos paladins ? Et les orbes lumineux qui veillaient à la barrière infranchissable... Plus j'avançais plus mon cœur s'emballait, car cette aura je la connaissait déjà, c'est celle de Damoclès ! Que fait-il ici ?! Selon mes instructions, il est banni et plus je m'avançais à lui en descendant la pente rocheuse, plus mon empathie me faisait comprendre qu'il n'était pas là pour manger des gaufres ! Il doit y avoir un lien entre lui et le mort vivant que j'ai occis quelques minutes plus tôt ! Catastrophe !! Comment peut-il être assit si sereinement au bord du pont, avec ces prêtres non loin, des innocents qui n'osent peut-être pas l'aborder par crainte.

Moi pas.
C'est ma raison d'éveillée ! Protéger ces hommes dévoués à la Lumière, protéger le village, les innocents d'un retour des morts vivant car nous avons tellement eu de mal à reconquérir cet endroit qui m'est agréable. Ici, j'ai prouvé ma valeur avec mes compagnons et des prêtresses. J'abordais l'étrange mort vivant que j'avais déjà rencontré auparavant en sauvant Dame Miracle, mais aujourd'hui, son aura dégageait quelque chose de si sombre.



_ Euhm... Monsieur Damoclès.... Votre présence ici n'est pas permise ici.

Par la Lumière...
Il est devenu si sombre... De lui émane une haine féroce, de la violence et une tristesse inexplicable. Mes sens ne me trompe pas, il est malsain, profondément maléfique même ! J'attendis, déglutie tant l'air était sec, poussiéreuse et la tentions palpable... La première fois que je l'avais rencontré, il m'avait intrigué car... Jamais je n'avais rencontré une personne aussi insensible mais là, c'est différent. Les minutes défilaient et si... Je faisais une erreur et qu'il incantait une sorte de malédiction ? Pour amener d'autre Mort Vivant ? Damoclès ne pipait mots... Je ne peux pas attendre de renfort, Brave n'est pas là, je suis seule et je dois gérer... Seule face à ma rencontre avec le mal. J'aurais aimée qu'il me réponde mais si physiquement il était là, son esprit torturé, obscure était clairement affairé à autre chose.

Je ne pouvais plus attendre.
Et je n'étais pas seule en fait. A nouveau ma foi, mes convictions pour la Lumière et confiante en ma décision je l'ai attaqué. Pour protéger les prêtres, pour protéger le village, les femmes, les enfants, les boulangers et protéger ceux que j'aime ! Je le mis à mort, sans réel difficulté mais sans fierté non plus à l'aide de mon bouclier doré, au service de tous. Seulement, demeurait en moi, l'incompréhension. Pourquoi était-il venu délibérément ici ? Est-ce une forme de provocation ? Je me mordillait les lèvres, nerveuse, après avoir brulé son cadavre par ma Lumière, tout comme feu son compagnon putride. Et si c'était le retour des morts vivants ??

Au pas de course.
J'ai rejoins Lady et au galop nous sommes rentrés à la Grande Ville où je demandais à qui l'entendrais, un régent, un responsable. Ne voulant alerter Miracle qui a déjà trop souffert de l'obscure avec son fils, et son époux absent... C'est sur l'ancienne régente et son compagnon que mon choix de rapport s'est porté. Ils avaient récemment ouvert un bar où Belette aimait passer un peu trop de temps à mon goût, mais... Chacun ses vices.
Tous devaient savoir, que j'ai combattu non pas un, mais deux morts vivants, tout proche du village du lac ! Est-ce un avertissement ? Un nouveau danger ?

Qu'est-ce que cela signifie ?
Je le saurais bien assez vite et surtout, lorsque Brave l'apprendra...

infos hrps:

Autre part...

– Injustice, Trahison, Disgrâceeee…

La Succube jubilait, l’impertinent mort-vivant qui osait lui résister avait été vaincu… Mieux encore par les mortels de la Lumière : Quel pied ! Mais… La vengeance d’une succube repoussée n’était pas de tout repos pour les idiots qui se refusaient à leurs charmes démoniaques.. Et Tryxvinia était véxée.

– Catarah !!? Viens me voir ma jeune sœur, j’ai une mission pour toi ! Appela, à travers le Néant, l’Impératrice. Viens aux pieds de ta maîtresse adorée !

La Sœur du Plaisir, car Catarah en était une, arriva avec empressement et vint s’agenouiller au coté de sa supérieure qui lui tendait la main, nonchalamment. La succube connaissait la chanson et vint baiser longuement et langoureusement la main tendue.

– Tu es une bonne succube, ma chère. Bien, il suffit. Trancha-t’elle sèchement en retirant sa main des griffes de l’appelée. J’ai une mission pour toi, Ô ma belle Catarah, une mission où seule toi réussira à me faire honneur et à me combler de plaisir.. Je veut que tu rejoigne ma protégée, Eris, ma somptueuse goinfre. Une connaissance à elle, un chevalier qui se refuse à moi, est tombé au combat. Je veut que tu l’aide à récupérer son corps, et que vous l’ameniez dans la Maison de l’Ombre, dans le territoire d’Azmii. Je veut que le corps de ce rejeton de la Faucheuse, appartiennent à l’Ombre… As tu bien compris ta mission ?

– Oui Impératrice.. Susurra la succube inférieure, en serrant les dents. Je m’envole de ce pas vers… Eris.

– Je savais que je pouvais compter sur toi Catarah, si tu me comble de plaisir, tu sais que je t’offrirai une place de choix auprès de moi. Bien, j’ai à faire, part, maintenant.

Et sur ses ordres, Catarah s’envola, en marmonnant, en direction des terres de Désolace, où se trouvait Eris…

– J’arrive… Bâtarde de Sang-Mélée… Et ne compte pas sur moi pour t’aider plus qu’il ne faudra pour que ta chute n’en soit que plus délicieuse.

Catarah était venue voir Eris, comme l'avait exigée l'Impératrice. Après un bref échange concernant la mission et la possible localisation du corps, Eris se mis en route sur-le-champ pour l'accomplir.

Arrivée sur place, qu'elle ne fût sa surprise lorsqu'elle vit que le village était à présent aux mains de la Lumière. Elle se mis à réfléchir à un plan.

Foncer tête baissée pour récupérer ce corps ? Une mauvaise idée, les gardes et les prêtres étaient bien supérieurs en nombre et cela ne ferait que sonner l'alerte pour la Forêt Verte.
La pluie... oui il pleuvait un véritable torrent ce jour là. Une véritable aubaine pour la Bâtarde de Sang-Mélée, le bruit de la pluie, le brouillard, les conditions semblaient parfaites pour executer sa mission avec une infime chance de se faire prendre.

Elle fît donc le tour, longeant le lac, profitant de ce que le terrain avait à offrir pour la dissimuler et atteignit enfin le pont. Prenant garde de ne pas se voir par les prêtres, elle tira le cadavre du mort-vivant, l'emmenant au loin avant de repartir, chevauchant son destrier, le corps déposé sur celui-ci.

Elle rentra sans encombre jusqu'à la maison de l'Ombre où elle y déposa le corps, garder par son gangregarde jusqu'à sa récupération avant d'aller s'installer et reprendre sa lecture sur la langue des démons.

Au grand désarroi de Catarah, Eris avait réussi sa mission, seule.

tout cela déplut fortement à la Faucheuse. On lui prenait le seul fidèle qu'elle avait pu plus ou moins conquis pour défendre ses intérêts. Après une longue discussion avec l'esprit du chevalier de la mort qui avait rejoint sa maison - celle de la Faucheuse - Elle alla trouver l'esprit du Prince Keleseth pour qu'il intervienne. Quelque heures auparavant, elle était allée rechercher le corps de son protégé là où il était tombé mais elle ne l'y trouva pas. Bien qu'elle se douta qui avait ordonner ce vol, elle n'avait aucun moyen de savoir qui l'avait concrètement emporté et où il avait été caché. Ne pas savoir où était le corps d'un mort était plutôt frustrant pour la Mort elle-même et elle n'appréciait pas l'idée que Damoclès puisse tomber entre des griffes démoniaques.

La tâche de Kelseseth allait sans doute être ardue, mais dans ses cordes.

*Quelque part, loin des tribulations des Mortels*

-Alors notre "nouvel ami" est tombé ? Quelque part ça ne me surprend pas
-C'est au contraire une aubaine …

Bien que réduit à l'état d'esprit par un accrochage malheureux avec une entité plus maline et jusque là inconnue, ceux qui furent des hauts elfes complotaient encore. C'était devenu une seconde nature.
Cette fois, une Faucheuse vint à leur rencontre. L'ancien Magistère connaissait ces êtres, ce n'était pas la première qu'il voyait.
Elle lui fit part du destin tragique de Damoclès et de sa volonté de s'entretenir avec lui, ce qu'il accepta sans discussions.
En réalité, l'entretiens comptai moins que l'opportunité qui venait de s'offrir à lui : Une porte de sortie de sa prison spirituelle, dans laquelle il avait été enfermé.
Il pu donc rejoindre et échanger avec Damoclès. Visiblement, son corps était entre de mauvaises mains, mais ça n'était pas un problème en soit, ce ne sont pas les plans et solutions qui manquent, quand vous êtes un mort vivant qui plus est général de ce qui fut autrefois le Fléau.
Convaincre cette Mariam serai sans doute plus dur, dans un délais raisonnable.

Mais plus important pour lui maintenant, si la crypte est une prison pour l'âme des éveillés, elle ne l'est pas pour la sienne. Lui pouvait sortir et il ne lui faudrait que quelques petites ponction de sang vivant pour se reconstituer un corps.

De retour dans Achérus, le chevalier ne perdit pas de temps, il devait se rééquiper rapidement. Un chevalier de la mort sans son arme runique n'est rien. Evidemment, reforger une lame sans être muni d'un marteau de forgeron semblait être une quête impossible.

C'est ainsi qu'il se dirigea en toute discrétion dans les marais, après avoir tué quelques squelettes afin de disposer de poussières de cadavre nécessaires pour invoquer une goule.

Il savait ce qu'il devait faire, éliminer le plus de troggs possible afin de collecter sur eux une pioche et un marteau de forgeron. Une fois muni de ces outils précieux, il repartit aussitôt vers Achérus. Sa tâche initiale pouvait commencer.

Il se saisit d'une lame émoussée accrochée sur l'un des nombreux râteliers de la nécropole, puis la disposa dans une runeforge. Il s'agissait de recharger la lame de son potentiel magique. Cependant, bien que magique, la lame était faite de métal. Pour être pleinement efficace, elle devait être nettoyée de ses impuretés et rigoureusement limée.

Ainsi, il s'empara de la lame fraichement passée dans la runeforge, pour lui apporter les dernières finitions.

HRP:

A la suite de son dernier entretient avec Damoclès, Sithyne l’a trouvé si changé qu’elle ne s’est plus rien trouvée de commun avec lui. Un immense sentiment d’échec l’envahit, pensant qu’elle ne pourrait rien en attendre vis-à-vis du projet du Maître autour de l’achérus. Elle hésita à faire son rapport à ce dernier par crainte de devoir affronter sa colère et se retrouver diminuer dans son estime. Elle se décida toutefois à en parler à Manon, qui en parla à Kali, qui ben sûr en parlé au Maître, car elle craignait que l’attitude du chevalier de la mort ne devienne nuisible pour la Tour.

Comment peut-on tout rejeter ainsi ? La mort est aussi néfaste sur ceux qui le son déjà que sur les vivants ? Il est clair qu’il n’a pas compris les messages que la Faucheuse lui a envoyés. Il semblait même qu’il pensa que la Faucheuse n’était qu’une petit divinité parmi tant d’autre et n’avait guère son mot à dire sur tout cela. Damoclès a raison et sait tout mieux que le reste du monde. Soit ! Son attitude est devenu de la défiance envers tout, que ce soit ses ennemis ou ses amis. Il semble s’être tourné définitivement vers une route inconnue qui n’amènera rien de bon, ni pour lui, ni pour personne.

Sithyne apprit le lendemain que le Maître avait décidé d’interdire de l’Achérus à Damoclès. Cela rassura Sithyne qui vit dans cette décision que le Maître ne lui en tenait pas du tout rigueur à elle. Le travail était encore à faire, mais sans doute sans le chevalier de la mort, à moins qu’il ne se ravise.

Rien n’est simple quand il s’agit de l’Ombre. Mais n’est normal, n’est-elle pas le contraire de la clarté ? Comment voir sans lumière, dans un dédale de sombres couloirs tous plus tordus les uns que les autres ? Ce qui est évident, c’est que tous ces couloirs ne semblaient aboutir qu’à un unique lieu : Un précipice sans fond.

Quoi qu’il en soit, les forces de l’Ombre ne restent pas sans écouter et observer les tourments de Damoclès. Elles s’en délectent et ne cherchent qu’une chose : Comment les étendre tout autour de lui ? Le travail ne fait que commencer et Damoclès devrait le savoir déjà depuis un moment : Les effets ne dépendent que des causes.

Lassé du continent des vivants, le chevalier de la mort s'est effacé pendant une longue période au sein des terres glacées du Norfendre, accompagné du Prince Valanar fraîchement ressuscité. Considérant la quête de ces princes intéressantes en tout point de vue, il participe aussi activement qu'il le peut à l'accomplissement de leurs objectifs.

Il ne sait guère quand il reviendra. Suffisamment longtemps pour susciter l'oubli. Ce qu'il recherche dorénavant. Ses nouveaux partenaires pourront surement l'aider à terme.

HRP:

Depuis que le cimetière est passé sous le contrôle de Vladomir (ou Damoclès pour les vivants), ce dernier s'est donné pour mission d'y remettre un peu d'ordre.

Pour commencer, il souhaitait réaménager les cryptes, lesquelles pourront accueillir des ateliers d'apothicaires. Malheureusement, les énormes ronces qui jonchent les couloirs et les salles des cryptes irritaient ce chevalier de la mort, qui avait besoin d'espace pour relancer la production.

Ainsi, il invoqua une cohorte de goules (dont leurs talents de bûcheron ne sont plus à commenter) qui sera en charge, nuit et jour, de scier "proprement" le bois. Les instructions étaient simples pour des goules :

"Couper le bois en gros morceaux puis en planche.", "entreposez les planches, nous en aurons besoin".

De son côté Vladomir souhaiterait y créer une forge, il dispose d'un stock de thorium en grand nombre, un métal suffisamment solide pour maintenir le métal fondu. Il accumulera des essences de feu supérieure et évidemment du bois et du charbon pour nourrir le four.

Concernant l'enclume du fer suffirait. L'idée n'est pas de créer une forge de grande qualité, juste de quoi créer des clous, des armes simples et divers outils pour équiper tous ses nouveaux ouvriers.

A terme, il formerait des morts à la création d'armes et d'armures.

HRP: