Recueil du Barde

"Vous êtes en plein cauchemar...
Personne ne vous entendra plus crier...
Perdus dans le brouillard...
Sur vos joues les larmes ne cesseront de couler...

Dans les ténèbres vous cherchez une lueur...
Mais vous ne trouverez que noirceur...
Plus aucun espoir pour vos civilisations...
De ce monde est arrivée l'abnégation...

Ce monde de désolation, prendra fin ce soir...
Votre extinction à déja commencée...
Vous disparaîtrez tous... N'ayez aucun espoir...
Ce monde ne survivra pas... Vous l'avez tué...

Vous l'avez abreuver du sang de vos ennemis...
Et c'est avec des macchabées que vous l'avez nourri...
Nous condamnons vos âmes à une éternité d'errance...
Vous aurez le temps de méditer sur votre œuvre... La souffrance...

Nous allons figé toutes ces contrées...
En cet instant bien précis...
Nous créons ce royaumes de l'oubli...
Oui voici venue votre jugement dernier..."

"Voyez, Voyez ce monde d'on sonne la dernière heure...
Ces terres maudites qui sombre dans vos erreurs...
Hurlez, Hurlez à l'agonie de la lumière...

Levez, Levez les yeux vers ce ciel assombri...
Ces cieux qui depuis toujours sont recouvert d'un manteau gris....
Priez, Priez pour vos dieux vivant dans l'éther...

Relevez, Relevez vous dans cette bataille...
Ce combat où vous mourrez comme du bétails...
Contez, Contez vos histoires mortuaires...

Luttez, Luttez pour votre douce étincelle...
Dernier vestige de cette vie que je trouvais si belle...
Hurlez, Hurlez à l'agonie de la lumière..."

"Je meprésente à vous, de ces lieux le larron
Moi qui n'ai rien de noble, à peine les intentions
Bienvenue Inconnu, soyez ici chez vous
Ceci est mon refuge, venez donc boire un coup
Dans ce joli endroit où tranquillement je me meurt
J'ai ma table et ma bouteille qui m'attendent à toute heure
J'ai tant posé mon derrière sur ces vieux tabouret
Qu'il est recouvert de toiles d'araignées

« Allons quitte à être sous la pluie...
Venez donc boire un verre en ma bonne compagnie
Peu importe le chemin que nous aurons choisi
Nous irons jusqu'au bout de la nuit !»

Venez donc à ma table, surtout ne craignez rien
Je prendrai soin de vous, vous tendrai la main
Nous laisserons la joie nous prendre doucement
Nous raconterons nos courtes vies et passerons l'temps
Je ne suis pas si mauvais qu'on pourrait le penser
Vous n'avez rien à craindre, soyez donc rassuré
Si j'aime chanter, oui si j'aime chanter
Je sais être barde, mais aussi anecdotier ~

« Allons quitte à être sous la pluie...
Venez donc boire un verre en ma bonne compagnie
Peu importe le chemin que nous aurons choisi
Nous irons jusqu'au bout de la nuit !»

Une bouteille à la main, j'vous attends mes amis
Mais surtout n'vous pressez pas j'ai toute la vie"

Pauvre innocent du ciel ! Sans vue, sans lumières,
Soudainement dépouillé d'une touche cruelle...
De là lueur qui dansait derrière tes paupière
Et qui animais tes chansons jadis si belle ~

Te voilà perdu dans ce noir sans fin,
Cherchant, tâtonnant en explorant de tes mains
Cet immense monde désormais hors de vue
L'abandonner... l'écouter que choisira tu ?

Je pleure... Lorsque les anges meurent...
Je pleure... Pour ces gens qui partent...
Mais ! Je suis suis qu'un sale chanteur !
Sans tenu ! Sans loi ! Tout c'que j'fait j'le rate !

Venez donc ! Joignez vous à moi !
Nous chanterons ! Nous danserons !
De ces triste bois, ce soir, nous serons les rois !
Venez avec moi ! Ce soir au moins nous sourirons !

Où croyez vous aller ?
Ne savez vous pas qu'il fait sombre dehors ?
Où pensez vous arriver ?
Tout juste sortit du monde mort …

Vous ne savez plus d'où vous venez ?
Mais vous savez ce que vous craignez
Vous voulez devenir quelqu'un ?
Alors aux plus faibles, tendez la main

Aujourd'hui, et demain
Et ce jusqu'à ce que votre vie prenne fin.

Bonjour, Ombre ma vieille amie...
Je sais pourquoi tu viens...
Et tu sait que je te craint...
Te revoilà dans mon esprit...

Le temps est passé...
Les anciens ont été emporté...
Certains on été réveillé
Mais rien n'a changé...

Nous sommes des pantins...
On nous dicte notre lendemain...
Acceptant les mensonges
Ignorant les doutes qui nous ronges...

Le temps continue de s'écouler...
Mais si vous apprenez à douter...
Peut être que l'espoir vivra...

Un jour peut être le monde arrêtera..
De croire seulement ce qu'il voit...
Un jour ma vie s’arrêtera...
Sans doute seul... Mais c'est mon choix...

M'écoutez pas quand je déprime
Même quand tranquillement je rime
Souvent je salit ma religion
Ouais j'suis qu'un con...

Et même si on vous met des coups
N’arrêtez pas d'croire en vous...
Aujourd'hui v'nez chanter !
Où dansez avec légèreté !

Ne pensez pas au souvenir...
Et pensez à votre avenir
Y a que ça qui compte
Dans ce monde sans honte

Et même si on vous met des coups
N’arrêtez pas d'croire en vous
Aujourd'hui v'nez chanter !
Où dansez avec légèreté !

Bon alors les amis...
Ma chanson est finie...
Surtout il ne faut pas oublier
Si un jour j'viens à mourir... N’arrêtez pas d'chanter....

Un jour ! J'irais là bas !
Loin de tous ce qui se passe par là
Moi et ma tronche de rat !
Et rien ne me manquera !

J'irais la où le soleil disparais !
Et de chanter jamais je ne m’arrêterais !
Comme seule compagnie ceux pour qui j'aurais chanter !
Et comme seul récompense un sourire bien placé !

J'irais là où je veut !
Je ferais de mon mieux !
Je finirait chez les vieux !
Mais je serais heureux !

J'irais loin du Maitre
On m'dira qu'chui un traitre !
On m'dira d'allez m'faire m...
Mais l'important c'est ce que l'on veut être !

J'irais jusqu'au bout du monde !
J'perdrais mes mèches blondes !
Éclairé par cette lune ronde !
Heureux et idiot jusqu'à ma dernière seconde !

Cauchemar...
Le cadavre de mes frères et sœurs autour de moi...
Depart ?
Depuis combien de temps je suis partit ? Des mois ?
Solitude...
Je suis parti depuis trop longtemps !
Incertitude !
Que devienne donc mes amis au cœur chantant ?
Chanson ?
La chanteur des marais n'est plus parmi les siens ?
Barde !
L'aveugle n'est pas mort.. Il reviens !

Il y avait... Un enfant....
Au regard bienveillant...
Qui vivait haut dans le ciel...
Dans un monde irréel...
Au centre un grand arbre de cristal...
Qui guidait les rêves et bloquait le mal
L'enfant faisait les rêves des fatigué
Seul et sans jamais s’arrêter
Un jour... Les astres chutèrent...
Toutes les étoiles jusqu'à la dernière...
Le monde du jeune enfant mourrais...
Les vivants... De rêver arrêtaient...
Et ce grand arbre à rêve...
Se vidait de sa sève...
L'enfant ramassa les étoiles...
Puis les mis dans son sac de toile...
Déterminer, chantonnant !
Il escalada l'arbre croulant...
L’écorce devenait poussière sous ses pieds...
Le monde des rêves de cessait de s’effondrer..
Finalement arriver au sommet...
Il ne pouvait que contempler...
Le spectacle macabre...
De son monde qui mourrait tout comme l'arbre...
Et une larme perla sur sa paupière...
Une larme pour ce monde d'hier...
Une larme pour chaque rêve qui disparaissait...
Et pour chacune des âmes qui dormait à jamais...
Mais l'enfant ne pouvait laisser faire ça !
Il prit les étoiles dans ses bras...
Et fit le souhait d’arrêter tout ça...
Et le miracle s'opéra...
La peau de l'enfant devenais bois...
Des branches poussait du bout de ses doigts...
Des racines s’étendaient du bout de ses pieds...
Les étoiles s'élevaient dans le ciel...
Et l'enfant dans un sourire solennel...
Alors que sang devenait sève...
Devenait l'arbre des rêves...
L'enfant... N'existait plus...
Le monde des rêves n'avait pas disparu...
Restait aux éveillés d'apaiser leurs cœur...
Avant que le nouvel arbre ne se meurent...

J'ai même pas pu te dire salut...
Et j'viens d'apprendre que j'te reverrai plus...
J'penserais à toi quand il fera beau...
J'espere qu'on te manquera pas trop...
De là où tu est, tout en haut
Salut Ti-Rat...
J'espère... Non je crois
Que tu sera toujours là
Ici en nous... Ici en moi...

Il est une nouvelle terre
Avec un village en bord de mer !
Avec des maisons et même une tour
Croyez moi elle vaut le détour...
On va s'y installer elle est bien adaptée
Y a même une mine à exploré
Et si tu trouve pas ce p'tit bourg
Appelle moi chui aveugle pas sourd

Mer, Village, Maison, Bric à brac !
Passe donc ma baraque !
Mais abîme pas ma maison
Ou tu t'prendra ma guitare dans l'front !

Si jamais tu passe par chez nous !
Ramène de quoi boire un coup !
Par contre évite de taper sur tout ce que tu voit
Sinon on va pas être copain toi et moi...
Tape sur ce qui veut te taper
Et il n'y aura pas de problème à arranger !

Mer, Village, Maison, Bric à brac !
Passe donc ma baraque !
Mais abîme pas ma maison
Ou tu t'prendra ma guitare dans l'front !

Voila donc notre nouveau comité ...
On va bien te protéger !
Il va falloir s'y faire une nouvelle raison
Que cette ville est notre nouvelle maison !

Voila donc, cette chose qui effraie chacun
Le temps avance, doucement vers notre fin...
Vous vous sentez trahi.. déçu ?
Les dieux ne vous ont pas répondu ?
Vous pensez avoir échouer ?
Car vous voilà contraint de reculer...

Durant votre long combat vous avez été courageux...
Mais la solution ne vient hélas plus de ces mystérieux dieux...
Voyez, l'important n'est pas ce que vous laissez vous atteindre , mais ce que vous laissez derrière.
Alors désormais... Ensemble, main dans la main... Nous récupérerons nos terres !
Pour ceux que nous pleurons, ceux qui sont tombés... Et ceux qui tomberons,
Nous récupérons, notre foyer... Chez nous. Hautemaisons !!

"C'est un Papillon, mi-lune, mi-femme...
Reine de l'allégresse et autres amalgames
Elle apparaît, soudainement dans votre dos
Pour vous surprendre ou prendre au mot
Votre déclaration et vous la fera marquer
D'une promesse que souvent elle vous fera remarquer ~
Et elle brisera ce silence qui, à jamais,
Lorsque l'on le nomme disparaît
Amie de ces enfants de la terre
Être majestueux qui vivent dans les airs
Et qui un jour tout comme l'arbre mère
Perdront leurs feuilles et deviendront père

C'est un Papillon, mi enfant, mi sage
Qui des qu'elle le peut avec vous partage
Une légende à propos d'une déesse
Et qui d'un mouvement de tète, son récit elle acquiesce
Grande rêveuse elle voyage en songe
Ces sentiers chimérique de cristal elle longe
Rencontrant dieux et esprit de la nature
Et au beau matin leurs souhaite, à la revoyure ~

C'est un Papillon, qui s'appelle Papillon
Et elle aime son petit monde tout rond."

"Aujourd'hui je ne doit plus seulement chanter..
Dès lors que l'ennemi à frapper nos foye
Comment un éveillé à pu en arrivé là ?
Répandre la mort, dans un monde où elle rode déjà...
Si seulement ce drame pouvait ne pas venir...
Si seulement cette guerre pouvait faire réfléchir..
Combien de nos amis on péri pour protéger nos maisons ?
Combien s'éteindront dans cette incessante invasion ?
Nos amis au regard morne, dont les valeurs ont survécu !
Qui sont tombé pour une paix qu'il n'ont jamais connu...
La paix doit elle forcement le goût du sang ?
La mort ne devrait elle pas être une fatalité qui nous attends patiemment loin dans le temps ?"

Je suis un pauvre Barde solitaire
Voila l'opposé de ma vie au plein air !
J'me tasse, je met plus le bordel !
J'vais raconter ce joyeux conte irréel !

L'histoire commence par un jour bienheureux
Lorsque je suis arrivé sur ce chemin mélodieux
Sur cette route ou je ne savais pas où j'allais
Ce chemin dont même la fin n’apparaît jamais
Chemin que j'ai quitté ! En devant tout sage
Le barde devient tout ennuyant avec l'age ?
Certainement pas ! Il est temps de se réveiller !
Ce monde triste mérite d'avoir celui qui ne cesse de chanter !
Cela me permet pas de vivre, j'vais crever de faim.
Alors danser vite, tenez vous la main !
On à pas jusqu'à demain ! On à pas le temps !
Il faut vivre cette satané vie maintenant !
Alors ouais je suis un idiot, immature, têtu et bruyant !
Mais c'est ainsi que je resterais ! Toute ma vie et longtemps !
Oui j'ai perdu un bras ! Les yeux ! Peut être bientôt pire ?
Mais je chanterais jusqu'à mon dernier soupire...

Mais ces rires, ces moments avec vous autres !
Jamais je ne les oublierais, et je chanterais pour ce monde qui est le notre !
Et je boirais de ces bonnes boissons de la tour !
Et que ceux qui m'ennuient aillent faire un tour !

"Il y a une maison... Au cœur de la forêt verte
Une maison de bois, une belle battisse en soi
J'y traîne trop souvent, fait pas comme moi ~
Mais, passe un coup, elle te sera toujours ouverte..

Cet abri, couvre un feu, toujours allumé
Ce feu, j'me suis à bien l'aimé
Il est là pour sécher, réchauffer ou réconforter
Même si l'est meilleur pour faire à manger !

Derrière y a des chaises, avec des dossiers
Si t'es trop grand y aura les tables basses
Si t'es trop p'tit y aura les escaliers
Tu peut t'installer quel que soit ta place

En haut y a de quoi s'reposer, des lits
Même si c'est dangereux et tout mou
Faut pas hésiter à s'y enfoncer jusqu'au g'noux
Et à s'y lover jusqu'à être endormi

Et dans cette étendue sylvestre d'un vert feuillu
Il y a une maison, rempli d'gens incongru !"

Son nom est Chanterousse, c’est une hors-la-loi !
Sa tête est mise à prix par la plupart des rois,
Pour actes de révolte contre la couronne
Elle qui reste avachie sur son maudit trône.

Elle à fondé un équipage de courageux marins,
Des jeunes, des vieux, des borgnes et des gredins !
Et même navigué sur les mers des dieux
Défiant les dangers. Droit. Dans. Les. Yeux.

Hey ! Hazel Chanterousse sur les océans !
Cap sur l’horizon par n’importe quel temps !
Sœur de la Côte, nous les matelots,
Toutes voiles au vent, écumant les flots.

A présent de ce rafiot elle est le capitaine
Et c’est pas demain la veille qu’on lui mettra des chaînes
Au milieu de la bataille, elle ne craint pas la mort
Worgen sanguinaire, comme si le diable était à bord

Hey ! Hazel Chanterousse sur les océans !
Cap sur l’horizon par n’importe quel temps !
Soeur de la Côte, nous les matelots,
Toutes voiles au vent, écumant les flots.
x2

- COMBATTANT ÉVEILLÉ -

Combattant Éveillé,
Es tu bien sur de ton combat ?
Derrière ton armure, les rêves que tu forgea.
Lorsque tu t’élance, épée au poing
N’oublie pas qu’ils pourraient être des tiens

Tu es éphémère et leurs ordres sommaires
N’abat point l’épée, sur l’un de tes frères
Ce n’est pas son sang que tu fait couler
Mais les larmes d’un peuple, resté au foyer

Combattant Éveillé,
Es tu bien sur de ton combat ?
Derrière ton armure, les rêves que tu forgea.
Lorsque tu t’élance, épée au poing
N’oublie pas qu’ils pourraient être des tiens

Regarde la vie, écoute les sons des bois
Pose donc ton arc, ne soit plus aux abois
C’est par l’amour, la paix et le pardon
Qu’un solide avenir nous construirons

Combattant Éveillé,
Es tu bien sur de ton combat ?
Derrière ton armure, les rêves que tu forgea.
Lorsque tu t’élance, épée au poing
N’oublie pas qu’ils pourraient être des tiens

N’écoute pas un chef, qui t’envoie mourir
C’est ta liberté que tu doit chérir
Part à l’aventure, découvre des contrées
Et plus jamais… ne tue un Éveillé.

- VIVRE -

Nous aimons vivre dans les bois
Aller dormir, sous la lune
[Natalia nous dit de ses milles sons :
"Lance toi dans la grande aventure"] x2

Hmmmhmmhmmhmmm...

Nous aimons vivre librement
Boire du vin et manger du poisson
[Danser rire dans toute la maison
Entourés de pleins de bonnes gens] x2

Hmmmhmmhmmhmmm...

Nous aimons vivre au coin du feu
Et chanter dans la Taverne
[Hautemaisons nous dit de ses milles voix :
"Tu es ici chez toi."] x2

Hmmmhmmhmmhmmm...

"Tu est ici chez toi."

- CHANSON POUR MARCHER -

Le chemin quittant nos maisons
La pluie martelant nos fronts
Le vent soulevant nos capes
L’aventure nous rattrape

Ô Éveillés, que joyeuse soit ta foulée
Ô Éveillés, que ton pas soit décidé.

Ton regard plongé dans l’horizon
Tes pensées tournées vers tes compagnons
Ce voyage, tu ne le fait pas seul
Mais avec ce qui le veulent

Ô Éveillés, que joyeuse soit ta foulée
Ô Éveillés, que ton pas soit décidé.

Marche, vers ta prochaine destination
Libre, soit le, sans concessions
Et ensemble, oui on ami
Chantons cette joyeuse litanie

Ô Éveillés, que joyeuse soit ta foulée
Ô Éveillés, que ton pas soit décidé.

- ÉLÉMENTAIRES ET DRAGONS - CHANSON A BOIRE -

Découverte d’un voyage, un peu dangereux
Élémentaires et Dragons, droit dans les yeux
Ils se toisent, se tiennent en respect,
Mais sans prévenir.. ça va exploser !

Alors...
Lève ta chope, sort l’espadon !
Le Monde, va p'tet basculer
Bois un coup mais fait attention,
La bataille pointe l'bout d’son nez

Surtout ne deviens pas fou
Peut être n’est ce qu’une longue discussion..
Alors buvons encore un coup
Mais aux aguets... Nous resterons !

Bon d’accord, c’est p’tet rien
Mais franchement, si ça s’tiens ?
Et puis si jamais c’est bien vrai !!?
Mourrons ivre et bien habillé !

Alors...
Lève ta chope, sort l’espadon !
Le Monde, va p'tet basculer
Bois un coup mais fait attention,
La bataille pointe l'bout d’son nez

Surtout ne deviens pas fou
Peut être n’est ce qu’une longue discussion..
Alors buvons encore un coup
Mais aux aguets... Nous resterons !

- BRAVE -

Célébrons, par ces vers
Le bras sacré de la Lumière
Il nous viens tout droit du Nord
Entraîné , à combattre la Mort !

Ô Courageux Brave !
Libère tout les esclaves !
Et soit fier dans tout combats !
Contre l’Ombre, tu vaincras !
Et sera couvert de Gloire !

D’un regard il a foudroyé
Un Démon qui l'avait approché
Et d’une main il balaya
Une armée de cancrelats !

Ô Courageux Brave !
Libère tout les esclaves !
Et soit fier dans tout combats !
Contre l’Ombre, tu vaincras !
Et sera couvert de Gloire !

Tendre époux et preux guerrier !
Toujours il défend l’opprimé !
Sans relâche et avec ardeur
Car c’est un Éclaireur !

Ô Courageux Brave !
Libère tout les esclaves !
Et soit fier dans tout combats !
Contre l’Ombre, tu vaincras !
Et sera couvert de Gloire !

- COMPTINE POUR LES MORTS DANSANT -

Je t’amène la paix (x3)
Je t’amène la paix dans ton cœur.

Je t’amène le repos (x3)
Je t’amène la paix, l'repos, dans ton cœur.

Je t’amène l’amour (x3)
Je t’amène la paix, l'repos, l’amour dans ton cœur.

Salut à toi, mort guilleret
Tu doit maintenant rêver..
Au revoir trémoussant charnier
Et merci, d’avoir toujours danser..